Yves Jamait et Zaz

Le présent de l'indicatif.

La radio qui chante (2011).




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Elle son réveil, lui a perdu le sommeil.
Elle son boulot, lui pas trop.

Elle doucement du lit, quand lui à sa nuit,
exhalant de sueur, elle de fleurs.

Elle, la radio qui chante, la joie qui l'évente,
malgré tous les bleus.
Lui, le visage mort, d'artifice encore, de gamin trop vieux. (REFRAIN)

Elle courir dehors, lui surpris encore.
Elle pleins poumons, lui goudron.

Elle sa vie à pleines mains, lui la à demain,
jamais de projets, elle en .

REFRAIN.

Elle que la vie est belle, lui la trop réelle
bien trop prosaïque, trop cynique.

S'il bien trop ses distances,
elle les autres comme une chance,
lui comme un fardeau, elle cadeau.

REFRAIN

Elle pense que la vie est belle, belle belle, lui pas trop.
Elle pense que la vie est belle, belle belle belle, lui bobo.

Elle rentrera seule chez elle, lui dans sa vie qui chancelle,
peu de chance pour qu'une histoire .

Elle continuera donc seule, lui fera toujours la gueule.
Ces deux-là ne se croiseront pas.

Faut quand même un minimum, pour construire une histoire d'amour,
ça se passera pas comme au cinéma.

Faut quand même un minimum, pour faire vivre une histoire d'amour
et entre ces deux-là, il n'y en aura pas, parce que...

REFRAIN...