Le 1er sapin de Noël

Glissez-déposez les mots ou connecteurs à la place qui correspond, selon le sens.

   étant donné      appellerons      au      celle      considéraient      début      d'après      de      depuis      des      en      il y a      né      par      pour      qui      toutefois      y   
Déjà à l'époque Celtes, il était question d'un arbre 24 décembre, le jour qu'ils comme la renaissance du Soleil. qu'ils avaient coutume d'associer un arbre à chaque mois lunaire, ils avaient dédié l'épicéa (qui était "l'arbre de l'enfantement") à ce jour-là.
aussi une histoire avec un moine Allemand de la fin du VIIe siècle, et la légende qui s'ensuivit :
Saint Boniface ( en 680) était un moine évangélisateur voulait convaincre les druides germains des environs de Geismar, que le chêne n'était pas un arbre sacré. Il en fit donc abattre un. "En tombant, l'arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son passage à l'exception d'un jeune sapin".
À partir de là, c'est la légende qui entre en jeu. elle, saint Boniface aurait fait de ce pur hasard un miracle, et comme il était en train de prêcher la Nativité, il en profita pour déclarer : "Désormais, nous cet arbre, l'arbre de l'Enfant Jésus."
C'est ainsi que , on planta en Allemagne jeunes sapins pour célébrer la naissance du Christ.
Au XIe siècle, pendant l'Avent, les fidèles avaient coutume de présenter des scènes appelées Mystères, dont du Paradis. Et souvent, un sapin garni de pommes rouges symbolisait l'arbre du Paradis. On dit que certains allèrent jusqu'à installer un vrai sapin. Mais mention d'un "arbre de Noêl" ne fut faite pour la première fois qu' 1521; c'était en Alsace.
Le sapin décoré, lui, ne fut mentionné la première fois qu'en 1605; c'était en Allemagne.
Son introduction en France (à la cour) aurait eu lieu en 1837, la princesse Hélène de Mecklembourg après son mariage avec le duc d'Orléans.
… des rumeurs parlent d'un sapin qui aurait été installé à Versailles en 1738.
Quoi qu'il en soit, la coutume ne se développa véritablement qu'au milieu du XIXe siècle, du XXe.