Il
de drôles d'idées, il
le regard des sages
mais ce n'
qu'un étranger, simple promeneur sans
bagage.
Il
n'avoir peur de rien,
pourtant il
fragile
mais il
le
flair des chiens
et comme un chat il
agile.
Il avait connu tant de belles, quelquefois il nous
toutes les guerres en
dentelle qu'il avait perdues ou gagnées.
Du monde il
des histoires, qu'on ne lit pas dans les journaux
et nous
heureux d'y croire, même si c'
bien trop beau.
Il
surtout être seul, laisser le temps passer sans lui
dormir à l'ombre des
tilleuls, rêver le jour,
flâner la nuit.
Il nous
parfois le franc, de raconter des souvenirs
presque aussi vrais que des légendes pour nous troubler et nous séduire.
Il a laissé sur son passage comme un parfum de liberté
et depuis lors dans le village, il nous vient de drôles d'idées.
J'ai gardé
le bout de crayon qu'en partant il m'avait donné
pour vous écrire la chanson de l'homme qui
(2).