Le matin est là, je
chez nous, les rayons du soleil, quand moi je m'
.
C'est comme chaque fois, fatigue et
dégoût, et la lumière m'
enfin.
C'est toujours pareil, aucun souvenir, la même impression, cette
honte de soi.
Oh toujours pareil, dormir à mourir, et plus jamais mais à chaque fois
c'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit qui m'
de toi.
C'est la nuit bien plus forte que moi.
C'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit qui m'
et me noie.
La nuit c'est l'autre face de moi.
Je voudrais tellement, jurer, te promettre d'être ce que je suis quand le jour est là:
un père, un amant, mais je cesse de l'être quand l'ombre
, j'
ma foi.
Et je la sens qui vient tout près me
narguer,
sans la lumière toutes mes forces me
, tes larmes et tes mains ne pourront m'aider,
et je
mon pire ennemi.
C'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit qui m'
de toi.
C'est la nuit bien plus forte que moi.
C'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit qui m'entraîne et me
la nuit c'est l'autre face de moi.
C'est la nuit...
ma face noire, un autre que moi.
C'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit qui me
chaque fois,
la nuit qui se moque bien de moi.
C'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit, c'est la nuit qui m'
sa loi
qui nous vole à nous, me vole à toi.
C'est la vie, c'est l'envie, c'est la vie, c'est l'envie qui m'
à tes bras
La nuit qui m'
tant, dis pourquoi?
C'est la nuit, c'est l'envie C'est la nuit c'est l'envie qui ne me
pas,
la nuit qui m'entraîne oh
-moi.