Il y avait un jardin.

1971

L'imparfait de l'indicatif.

Une chanson de Georges Moustaki.

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Écoutez la chanson et remplissez les trous en utilisant les verbes qui manquent, selon le sens, proposés dans le tableau ci-dessous. Ils sont conjugués à l'imparfait.
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APPELER (2 fois)
AVOIR (3 fois)
BRILLER
ÊTRE (4 fois)
POUVOIR
POURSUIVRE
TENIR
VENIR


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C'est une chanson pour les enfants qui naissent et qui vivent entre l'acier et le bitume, entre le béton et l'asphalte, et qui ne sauront peut-être jamais que la terre un jardin.

Il y avait un jardin qu'on la terre, il au soleil comme un fruit défendu.
Non ce n' pas le paradis ni l'enfer, ni rien de déjà vu ou déjà entendu.

Il y un jardin une maison des arbres, avec un lit de mousse pour y faire l'amour, et un petit ruisseau roulant sans une vague le rafraîchir et son cours.

Il y un jardin grand comme une vallée, on s'y nourrir à toutes les saisons sur la terre brûlante ou sur l'herbe gelée et découvrir des fleurs qui n' pas de nom.

Il y avait un jardin qu'on la terre, il assez grand pour des milliers d'enfants.
Il habité jadis par nos grands-pères qui le eux-mêmes de leurs grands-parents.

Où est-il ce jardin où nous aurions pu naître? où nous aurions pu vivre insouciants et nus,
où est cette maison toutes portes ouvertes, que je cherche encore et que je ne trouve plus?