La robe et l'échelle.

Album: Les roses et les orties (2008).

Les temps du passé.






Lisez les paroles de la chanson et mettez les verbes entre parenthèses à la forme du passé qui convient.

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Site officiel de Francis Cabrel: http://www.franciscabrel.com/


Tu ta robe légère, moi l’échelle contre un cerisier, tu monter la première, et après… (METTRE - VOULOIR)

Il y a tant de façons, de manières, de dire les choses sans parler, et comme tu bien le faire, tu l’. (SAVOIR - FAIRE)

Un sourire, une main tendue, et par le jeu des transparences, ces fruits dans les plis du tissu, qui balance.

Il ne s’ pas de monter bien haut, mais les pieds sur les premiers barreaux, j’ glisser le manteau, de l’enfance. (S'AGIR - SENTIR)

On a rien gravé dans le marbre, mais j’avoue souvent y penser, chaque fois que j’entends qu’un arbre, . (TOMBER)

Un arbre s’est vite fendu, le bois quelqu’un le vendre, s’il savait le mal que j’ai eu, à descendre. (DEVOIR)
D’ailleurs en suis-je descendu, de tous ces jeux de transparence, ces fruits dans les plis des tissus, qui balancent.

J’ d’autres choses à faire, et d’autres sourires a croiser, mais une aussi belle lumière, jamais. (TROUVER)

À la vitesse où le temps passe, le miracle est que rien n’efface l’essentiel,
tout s’envole en ombre légère, tout sauf ce bout de fièvre et de miel.

Tout dans l’espace, le sourire, la robe, l’arbre, et l’échelle, (S'ENVOLER)
à la vitesse où le temps passe, rien, rien n’efface l’essentiel.

J’ d’autres choses à faire, et d’autres sourires à croiser, mais une si belle lumière, jamais. (TROUVER)

Et voilà que du sol où nous sommes, nous passons nos vies de mortels,
à chercher ces portes qui donnent, vers le ciel.