Tu
ta robe légère, moi l’
échelle contre un cerisier,
tu
monter la première, et après…
Il y a tant de façons, de manières, de dire les choses sans parler,
et comme tu
bien le faire, tu l’
.
Un sourire, une main tendue, et par le jeu des transparences,
ces fruits dans les
plis du
tissu, qui balance.
Il ne s’
pas de monter bien haut, mais les pieds sur les premiers
barreaux,
j’
glisser le manteau, de l’enfance.
On a rien gravé dans le marbre, mais j’
avoue souvent y penser,
chaque fois que j’entends qu’un arbre,
.
Un arbre s’est vite
fendu, le bois quelqu’un
le vendre,
s’il savait
le mal que j’ai eu, à descendre.
D’ailleurs en suis-je descendu, de tous ces jeux de transparence,
ces fruits dans les plis des tissus, qui balancent.
J’
d’autres choses à faire, et d’autres sourires a croiser,
mais une aussi belle lumière, jamais.
À la vitesse où le temps passe, le miracle est que rien n’
efface l’essentiel,
tout s’envole en
ombre légère,
tout sauf ce bout de fièvre et de miel.
Tout
dans l’espace, le sourire, la robe, l’arbre, et l’échelle,
à la vitesse où le temps passe, rien, rien n’efface l’essentiel.
J’
d’autres choses à faire, et d’autres sourires à croiser,
mais une si belle lumière, jamais.
Et voilà que du
sol où nous sommes,
nous passons nos vies de mortels,
à chercher ces portes qui donnent, vers le ciel.