Octobre

1994 "Samedi soir sur la Terre"

Le futur. Révisez en cliquant ici.

Une chanson de Francis Cabrel.

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Remplissez les trous avec les verbes qui manquent, conjugués au futur. Vous trouverez les verbes ci-dessous, à l'infinitif: lisez les paroles afin de les placer correctement, selon le sens. Écoutez la chanson pour vous aider. Cliquez ci-dessous pour l'écouter:



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AVOIRSE CACHERVENIRFAIRE
JOUEROFFRIRSORTIRJOUER
CROISERALLERRESTERVOIR


Le vent craquer les branches, la brume dans sa robe blanche,
il y des feuilles partout, couchées sur les cailloux, Octobre sa revanche.
Le soleil à peine, nos corps sous des bouts de laine.

Perdue dans tes foulards tu le soir Octobre endormi aux fontaines.
Il y certainement, sur les tables en fer-blanc,
quelques vases vides et qui traînent et des nuages pris aux antennes.

Je t' des fleurs et des nappes en couleurs pour ne pas qu'Octobre nous prenne.
On tout en haut des collines regarder tout ce qu'Octobre illumine,
mes mains sur tes cheveux, des écharpes pour deux.

Devant le monde qui s'incline certainement appuyés sur des bancs
il y quelques hommes qui se souviennent et des nuages pris aux antennes.
Je t' des fleurs et des nappes en couleurs pour ne pas qu'Octobre nous prenne.

Et sans doute on apparaître quelques dessins sur la buée des fenêtres.
Vous, vous dehors comme les enfants du Nord, Octobre peut-être.
Vous, vous jouerez dehors comme les enfants du Nord, Octobre peut-être.