Il y a ceux qui pleurent et ceux qui prient, et un peu trop fort. Il y a ceux qui se mettent à l'abri, même s’il n’y a pas de pluie dehors.
Il y a d'amour aussi, et ceux qui n'ont pas fait d'efforts. Il y a ceux qui disent que c'est fini, et croire encore.
Il y a ceux qui regardent le ciel et qu'ils sont heureux. Ceux qui pensent que tout et pareil et avec le feu.
Ceux qui parlent dans le sommeil. Ceux qui n'ont pas su dire adieu.
Ceux qui ont envie de soleil, et tous les yeux.

Et il y a toi, il y a moi, il y a nous deux dans ce monde-là. Nous deux comme des gens qui passent, comme ces milliers de vagues à la surface.

Il y a leur vie, ceux qui ont défait leurs bagages. Ceux qui tombent pour la patrie et été sages.
Il y a ceux qui rêvent leur symphonie, ceux qui ferment les livres d'images. aucune envie, ceux qui se cachent le visage.
Il y a ceux qui crient avec les loups, et ceux qui auraient tellement à dire. Ceux qui ne vivent qu'à genoux, tout pour s'enfuir.
Il y a ceux qui se cherchent partout, le sourire. Il y a ceux qui se tiennent debout, Il y a mentir.

Et il y a toi, il y a moi, il y a nous deux dans ce monde-là. Nous deux comme des gens qui passent, comme ces milliers de vagues à la surface.
Et il y a toi, il y a moi, il y a nous deux dans ce monde-là. Nous deux au milieu de la foule, enlacés comme un serpent qui s'enroule.

Il y a ceux qui abandonnent tout et de voyages.
Ceux qui ont des idées sur tout, les messages. Il y a ceux qui sont à moitié fous, qui ne voient même plus les virages.
Il y a ceux qui n'ont plus rien du tout et davantage.

Et y a toi, il y a moi, il y a nous deux dans ce monde-là. Nous deux comme des gens qui passent, comme ces milliers de vagues à la surface.
Et il y a toi, il y a moi, il y a nous deux dans ce monde-là, nous deux au milieu de la foule, enlacés comme un serpent qui s'enroule.
Et il y a toi, il y a moi, il y a nous deux dans ce monde-là, nous deux ensemble pour la vie, comme tous ces millions d'amoureux aussi.
Et il y a toi, moi dans ce monde-là.